La Parole aux membres VELODOM PHOTO

 

« Retrouver une vie normale »

 

Dans cette période difficile, la pratique du sport est bien difficile mais pas mal de clubs continuent à se faire plaisir dans notre belle région mais surtout tiennent à continuer la formation autour de tous ces jeunes, c’est le cas pour le sympathique et dynamique Jean François Geoffroy, le Président du Team Pévèle Carembault Cyclisme qui rassemble chaque week end les passionnés de VTT et les jeunes de l’école de vélo. Depuis quelques mois, il a un nouveau projet dans sa poche qu’il compte vous présenter dans quelques jours. Passion et nouveau défi voilà ce qui attend le Président. N’en doutons pas qu’il saura fédéré autour de lui. Pour ma part, un grand merci à lui pour soutien à VELODOM PHOTO.

 

Le reporter de VELODOM PHOTO l’a rencontré afin de mieux le connaitre et découvrir ses futures ambitions

 

D.Bertout : «  Peux tu te présenter rapidement ? »
JF Geoffroy : «  Je m’appelle Jean-François Geoffroy, j’ai 51 ans et je vis à Wahagnies, commune connue surtout pour ses étangs de pêche et ses équipes de Hand-ball, côté sport. Je vis avec Magalie, nous formons une famille recomposée avec 4 enfants (Juliette – 16 ans – et Inès – 12 ans- de mon côté et Julie – 16 ans – et Mathys – 13 ans – pour Magalie). Coté métier, je suis archéologue à l’Institut National de Recherches Archéologiques Préventives (INRAP), un institut qui travaille en lien direct avec le ministère de la culture. Par ailleurs, je suis président-créateur du team Pévèle-Carembault cyclisme. »

D.Bertout : «  Comment es tu arrivé dans le vélo et ton parcours jusqu’à ce jour ? »
JF Geoffroy : «  Si j’adore l’histoire depuis toujours, j’ai baigné dans le vélo dès ma plus tendre enfance avec un grand-père qui m’emmenait faire des virées autour de maroilles et mon père qui m’a vite fait découvrir les joies du cyclotourisme dans des pelotons. A l’époque, souvent proche de 50 unités. J’ai vite pris goût à rouler dans les pelotons sous la houle de « vieux » briscards qui m’ont appris à tourner les jambes et à frôler sans craindre la chute. Je me souviens que j’étais vraiment heureux dans ces pelotons et j’en garde de superbes souvenirs. Evidemment à cette époque on ne parlait pas encore de VTT. Un homme va changer pas mal de choses dans ma vie de cycliste (j’allais dire ma carrière mais je n’en ai pas eu… mdr), c’est Roland Lécolier dont le frère était le voisin de mes parents. La famille Lécolier est une vraie famille de cyclistes et de sportifs.  C’est avec lui que je prends ma première licence en cadet (vers 1985) au VC Landrecies et me voilà partis tous les dimanches me mesurer avec les autres cyclistes de mon âge : je suis de la génération de Laurent Desbiens, Willy Wojtinek, Laurent Veaux, Vincent Oreto ou encore les frères Berthier. Même si je faisais que des « placettes » j’ai tout de suite adoré l’ambiance de compétition.  C’est aussi Roland qui me fait découvrir à la même époque le VTT, il m’en prête un l’hiver et nous allons « faire les cons » dans la forêt de Mormal toute proche avec quelques autres adeptes, je me souviens notamment des sorties avec René Bleuze… ça roulait fort. Nos  sorties étaient souvent interrompues par de longues discussions avec Jean-Marie Leblanc qui courrait dans la même forêt, à l’époque il devait être rédacteur en chef de l’équipe. Puis comme beaucoup, les études se sont profilées après le BAC et de mon Avesnois natal je me suis retrouvé à Villeneuve d’Ascq, en DEUG d’Histoire de l’art et archéologie. Même si je ne pratiquais plus aussi assidument le vélo, je me suis inscrit à la section VTT de VC Roubaix où j’ai été accueilli de façon irréprochable par Daniel Verbrackel. Je me suis retrouvé à faire des sorties avec Laurent Desbiens,Alain Bondue ou encore Michel Jean, là aussi ça roulait pas mal (mdr). Je suis resté 17 années au VC Roubaix avec un gros trou dans les années 90 dû à de fréquents et longs séjours en Tunisie, en Grèce ou en Italie dans le cadre de mon métier et de la fin de mes études. Durant cette période et jusqu’en 2007 je pratiques la route et le VTT, mes copains de « bagarre » sont alors Jean-Pierre Chalas, Jean-Philippe Gibki, Jean-Michel Prissette, Manu Landas, José jaurégui ou encore Sébastien Loete. J’ai aussi noué de nombreuses bonnes amitiés durant cette période. En 2007 je quitte le VC Roubaix pour monter ma propre structure après quelques discussions avec le président de l’époque qui engageait de l’argent dans l’équipe pro et non pour le VTT (mon idée de base aurait été de relancer une bonne section VTT à Roubaix) ; me voilà donc partis à créer le team VTT Pays de Pévèle qui est depuis fin 2019 le team Pévèle-Carembault cyclisme. Un club qui me ressemble, je dirais même qui nous ressemble puisqu’avec mon ami Olivier Debruyne, nous sommes à l’origine du projet (c’est le premier qui m’a appelé quand j’ai dis que je montais un club et nous sommes les derniers des Mohicans). Nous sommes complémentaires. Nous pourrions comme tous les clubs faire la chasse aux bons coureurs et aller chercher des résultats mais cela ne nous ressemblerait pas, notre structure est faite pour le plaisir et le partage, les résultats viennent c’est bien, ils ne viennent pas ce n’est pas un drame et c’est cet état d’esprit que nous faisons passer aux partenaires qui nous rejoigne. J’ai toujours roulé pour le plaisir et boire ma petite bière après la course, je veux faire passer cet état d’esprit et on s’aperçoit aujourd’hui que de nombreux sportifs recherchent cela plutôt que de faire des résultats (c’était aussi l’état d’esprit de mon père). J’ai voulu faire du club, une famille et nous y arrivons peu à peu. Ma devise c’est « je ne vais chercher personne et je ne retiens personne » même si il y a quelques coureurs (amis) que j’aimerais avoir dans l’équipe mais chuuuut. Nous essayons aussi de développer le même état d’esprit avec les partenaires.
Cet état d’esprit fait que le team Pévèle-Carembault cyclisme fonctionne bien même durant la crise » que nous traversons, il n’y a pas une journée où nous n’échangeons pas sur les réseaux sociaux. »

D.Bertout : «  Quel est ton meilleur souvenir dans le vélo et à l’inverse ton plus mauvais ? »
JF Geoffroy : «  Cette question est certainement la plus difficile pour moi même si, et je vais commencer par là : le plus mauvais souvenir reste ce « p….. » de dimanche matin où je suis tiré du lit par le téléphone qui m’annonçait par la voix de Sylvie Lachery, le décès de Dimitri (en l’écrivant j’en ai encore la chair de poules). Nous devions partir faire une course sur plage en Belgique ce jour-là mais je me suis recouché et j’en ai chialé. La journée fût longue. Je ne connaissais pas Dimitri depuis très longtemps mais le courant était vite et bien passé et nous avions des projets ensemble. Tant que je serais président « Dim. » sera écrit sur le col de notre maillot.
Après ça le vélo reste pour moi des bons souvenirs, des souvenirs différents à chaque fois mais de bons souvenirs. Certains diront quand j’ai gagné telle ou telle course, oui c’est gratifian. Si je devais retenir une victoire c’est certainement les 4 heures de Wissant VTT que j’ai gagné avec Jean-Philippe Gibki annoncé mort le lundi dans la Voix des Sports, on en rigole encore surtout que le circuit faisait le tour du cimetière de Wissant. Ensuite quand on me pose cette question ;  j’ai de nombreux souvenirs qui remontent à la surface : les « tours » (comme je disais à l’époque) en vélo que je faisais avec mon père et le club cyclo de Landrecies, les entraînements dans le froid avec Roland Lécolier, des passages sur les pavés du carrefour de l’arbre dans la roue d’Alain Bondue, les terribles sorties qu’on organise avec le club parfois dans des conditions où on ne mettrait pas un esquimau dehors, les tours du lac d’Annecy en famille, les 8 roc d’azur en tandem avec ma chérie Magalie ou les centaines de courses sous  l’œil intransigeant de mon père. Je dois avoir une mémoire sélective et comme disait Jean Rostand : « Je n’ai pas encore assez oublié pour avoir des souvenirs » . Pour l’instant je continues à m’en fabriquer pour mes longues soirées d’hiver quand justement je ne me souviendrais plus des plus anciens (mdr) »

D.Bertout : «  Tu es un adepte du VTT, pourquoi avoir choisit cette  discipline plutôt qu’une autre ? »
JF Geoffroy : «  Aussi loin que je me souviennes j’ai toujours aimé faire le « con » sur des vélos : j’ai d’abord détruit mon premier vélo à force de monter et descendre les buttes de terre ou les bordures, puis je me suis acharné sur le vélo de ma mère et enfin son solex dont j’avais enlevé le moteur ; et oui le VTT est arrivé en France quand j’étais ados (1985). Je faisais alors de la compétition sur route mais très vite j’ai été séduit par cette nouvelle discipline. Même si je n’ai jamais abandonné la route que j’adore, je me suis vite pris au jeu des compétitions VTT en tout genre : allant de la course, Le régionale en XC jusqu’à la Mégavalanche de l’Alpe d’Huez en passant par une vingtaine de Roc d’Azur. Surtout j’adore rouler quand ça glisse, quand c’est boueux, c’est un jeu pour moi et puis on peut tellement faire de choses en VTT, que ce n’est pas monotone : les courses XC olympiques, les marathons, les courses sur plage, l’enduro puis depuis quelques années le tandem VTT avec ma chérie ou les copains qui veulent essayer.  Cerise sur le gâteau je peux maintenant en faire (du tandem) avec mes enfants et ça c’est génial. Mais je crois que j’aime le vélo tout simplement. »

D.Bertout : «  En 2021, seras tu plutôt compétiteur ou randonneurs ? »
JF Geoffroy : « Ce qui est sûr (enfin je l’espère), c’est que je serais cycliste et comme je viens de dire j’aime le vélo tout simplement. Il y a des amis du club (des jeunes) qui veulent m’emmener à nouveau faire des compétitions « route » et j’avoue être tenté de reprendre quelques départs avec eux dans l’optique de leur apporter le peu d’expérience que j’ai. Je ne sais même pas si j’arriverais à tenir le peloton tout une course. Ensuite il y a quelques compétitions VTT qui à mon niveau ressemble davantage à des randonnées : le Roc d’Azur, la MB Race ou quelques marathons en Belgique. Autrement-dit il y a des compétitions qui se transforment en randonnées et il y a des randonnées qui se transforment en vraies compétitions car ça reste un plaisir de faire péter les jeunes du club quand on peut encore le faire (mdr). Je ne sais pas si j’ai répondu à ta question mais tu auras compris que pour moi elle ne se pose plus, je vais où bon me semble avec un dossard ou sans, je prends plaisir à rouler et à m’amuser ; ce qui est sûr c’est que je ne ferais plus « le métier » comme on dit. »

D.Bertout : «  Tu es Président du Team Pévèle Carembault avec pas mal d’adhérents mais je crois que tu cibles surtout sur les jeunes c’est ca ? »
JF Geoffroy : « C’est un vrai plaisir de rouler avec les enfants et j’aurai tellement aimé être dans cette ambiance étant gamin que j’essaye de leur apporter cette possibilité. Ceci dit en tant que président je ne dois pas oublier les adultes même si, eux, peuvent se débrouiller et proposer des sorties ou des activités. Quand j’ai créé le club, il était évident que les enfants auraient une large place au sein de ce club ; j’ai la chance depuis deux ans d’être bien entouré pour développer les activités envers ces enfants et avec Mary, Laurent et Guillaume, on fait du bon boulot. J’ai l’âme « enseignante » et si quand ils auront quelques dizaines d’années de plus, ils se souviennent (en souriant) des heures passées à rouler dans la boue, je serais heureux de leur avoir apporté ce plaisir. Faire des champions n’est pas notre but, c’est un autre métier avec des compétences que je n’ai pas forcément même si aujourd’hui de plus en plus s’improvise coatch ou entraîneur. Je n’oublie pas les adultes comme je le disais et nous avons un bon groupe que nous allons renforcer de quelques randonneurs et passionnés de VTT. Mon objectif est d’arriver à avoir un groupe qui roule régulièrement ensemble mais nous ne sommes pas aidés ces derniers temps avec la « zwix aytude » ; il est tellement plus agréable de rouler sous la pluie et dans le vent que dans son garage ou pire dans son salon. Enfin je suis un peu ironique et je charrie beaucoup « mes gars » avec ça. Là aussi peut-être faut-il se réinventer ? Nous développons aussi des activités envers les femmes même si je trouve qu’à la base c’est une ineptie de devoir « s’occuper des femmes ». Les femmes ont toujours fait du vélo et je me souviens quand j’étais gamin (8/10 ans) j’allais rouler avec les femmes. Le problème, c’est encore une fois on veut développer le cyclisme féminin en compétition sans vouloir développer le cyclisme féminin tout cours. Nous avons 7 féminines au club que nous accompagnons, en 2019, 4 se sont essayé à la compétition mais elles font du vélo pour le plaisir et nous prenons plaisir à les accompagner, à les sécuriser car le problème est souvent à ce niveau. Nous avons organisé deux manifestations pour elles, fin 2019, début 2020 : « Roulez au féminin » et nous recommencerons dès que possible avec notre partenaire Specialized Lille. »

D.Bertout : «  Quels sont les objectifs pour le club en 2021 ? »
JF Geoffroy : «  Outre les objectifs que chacun peut avoir à différents niveaux et qui sont assez proche du « se faire plaisir sur le vélo » (même si nous avons quelques petits gars qui tournent bien comme Clément Ducheine, Jérémy Evrard ou Guillaume Logez), en tant que président j’aimerais vraiment que notre team ait une place dans l’environnement sportif et sociétal de la communauté de communes. Je n’ai jamais poussé mes adhérents à des résultats même si, je dois l’avouer, ils sont nécessaires pour un club de sport et font plaisir au président que je suis mais je suis aussi très attentif à notre « petit » rôle dans la société d’aujourd’hui. Je reste persuadé que les clubs de sport et plus largement les fédérations ont un énorme rôle à jouer dans le développement intellectuel des jeunes et plus simplement d’en faire des champions. Un champion, né champion et le deviendra, certes s’il est bien entouré mais à notre niveau nous devons faire des « non champions » des jeunes qui garderont de leur passage chez nous un acquis pour leur vie future, et je suis certain que c’est là qu’aujourd’hui se trouve la solution pour récupérer des licenciés. Par conséquent mon objectif pour le club est de proposer via le vélo, via nos encadrants un univers où le jeune fait du vélo, parle vélo, dort vélo mais aussi prend notre expérience comme un levier pour son avenir et nous devons y veiller. »

D.Bertout : «  A titre perso, quels sont tes objectifs pour 2021 ?
JF Geoffroy : «  Rouler et prendre du plaisir avec les copains et si possible faire un beau Roc tandem avec Magalie et avoir un club bien vivant où les gens s’y sentent bien. Ah j’oubliais quand même un seul objectif peut-être : « niquer » Jean-Pierre Chalas sur le tour du lac à Annecy (mdrrrr). »

D.Bertout : «  En dehors du vélo, as-tu d’autres loisirs ? »
JF Geoffroy : «   Mon métier est un loisir, je mesure chaque jour la chance que j’ai même si comme chaque boulot, il y a ses avantages et ses inconvénients. J’adore lire mais aussi écrire. J’aime écouter de la musique (je collectionne les vinyles). J’aime bricoler aussi même si pour ma compagne ça ne va jamais assez vite (mdr). J’ai passé mon permis moto pour mes 50 ans et j’ai une Trail, très agréable pour aller se balader dans les chemins. J’aime aussi passer du temps au resto avec les copains, refaire le monde, j’ai appris ça avec mon grand-père qui m’emmenait parfois au bistrot avec lui : j’ai toujours été fasciné par les discussions au bar (lol). Avant j’adorais dessiner aussi mais je ne prends plus le temps d’en faire, du coup je m’acharne sur l’ordinateur à retoucher des photos ou faire quelques dessins (DAO). »

D.Bertout : «  Un petit mot sur VELODOM PHOTO »
JF Geoffroy : «   Respect… voilà un mot… mdr  On se connait depuis pas mal de temps maintenant et tu es resté le même avec surtout la même envie de faire vivre notre sport et relater, avec ferveur, nos petits exploits du week-end. Tu es simple et efficace  et je crois que tu aimes profondément le cyclisme et les coureurs (compétiteurs ou randonneurs). J’ai tellement l’habitude de te voir sur les bords des chemins ou des routes que quand je ne te vois pas, j’ai l’impression qu’il manque un truc. Tu es un peu notre mémoire et j’espère profondément et sincèrement que cette crise ne va pas t’enlever ton enthousiasme photographique.  Velodom-Photo devrait être reconnu d’utilité publique… »

D.Bertout : «  Tes souhaits pour l’avenir ? »
JF Geoffroy : «  La phrase qui marche bien en ce moment c’est « retrouver une vie normale » même si je reste persuadé que cette crise impactera pour longtemps notre société ; alors si cette pandémie pouvait avoir ouvert les yeux de nos dirigeants sur le fait que le « sport à papa » c’est fini ça serait déjà une belle chose. J’en doute quand j’entends ces mêmes dirigeants dirent qu’il faut relancer telle ou telle discipline, il faut baisser les coûts pour retrouver des compétitions. NON et NON, il ne faut pas relancer, il faut réinventer. Les gamins qui continuent à être obnubilés par la compétition sont des enfants de coursiers dont beaucoup vivent une carrière, souvent ratée, par procuration. Les gamins que j’ai à l’école de VTT sont à 95 % des enfants dont les parents se fichent du vélo et eux ce qu’ils veulent c’est sauter des bosses, rouler dans des endroits improbables, revenir « crôtés » jusqu’aux oreilles, de poster des vidéos sur You tube etc etc. Ils se fichent complètement d’avoir un alignement de coupes ou de médailles dans leur chambre ; Alors oui, un souhait : messieurs les dirigeants, prenez enfin la vraie mesure de l’évolution d’une société qui vous échappe de plus en plus et tenez compte des nouveaux arrivants sur cette planète pour qui le sport est avant tout synonyme de plaisir et non de performance. Baisse des coûts d’inscriptions, d’organisations ou de licences, c’est bien mais le problème est plus profond qu’une simple histoire d’argent. »

 

Jean François, un vrai passionné qui maintenant fais du vélo pour le plaisir comme il le dit. Mais surtout mettre son expérience au service des jeunes et de tous ces jeunes. Il a maintenant un gros projet dans la tête dont il vous parlera dans quelques jours et que VELODOM PHOTO va relater. Nous suivrons ces péripéties en 2021. Enfin, un grand merci à lui pour son adhésion à VELODOM PHOTO et sa confiance pour le partenariat que nous venons de signer ensemble. Bon vent au Team Pévèle Carembault Cyclisme

Crédit photo : Dominique Bossut et VELODOM PHOTO