Dylan Kowalski parrain VELODOM-PHOTO

 

 

Après quelques années passées dans les rangs élites du VC Rouen avec une certaine réussite malgré une mononucléose en 2015., l’année 2016 sera l’aboutissement de tous les espoirs du jeune champion Dylan Kowalski avec notamment de belles victoires et celle des 3 Jours de Cherbourg et enfin l’annonce de son passage chez les professionnels à Roubaix en 2017. Une belle récompense pour ce talentueux coureur qui rappelons le avait gagné le Challenge ECHODUVELO dans les rangs cadets. A la suite de son accession aux rangs profesionnels, Dylan Kowalski a accepté d’être le parrain de VELODOM-PHOTO. Ainsi, il nous fera régulièrement le compte rendu de sa saison dans les pages du magazine et mettra bientôt en jeu pour les adhérents VELODOM, une de ces tenues complète de Roubaix.

 

Un grand merci à lui pour cette belle surprise. C’est avec grand plaisir que nous le suivrons durant sa carrière.

 

Le reporter de VELODOM-PHOTO l’a rencontré, le coureur a bien voulu parler du bilan de sa carrière, parler de ses ambitions et de son parrainage à VELODOM-PHOTO.

 

D.Bertout : «  Dylan, tout d’abord, un grand bravo pour ta brillante saison 2016 et ton accession aux  rangs pros en 2017. Et un grand merci d’avoir accepté d’être le parrain de VELODOM-PHOTO.
Tu as donc décidé d’être le parrain de VELODOM-PHOTO. Peux-tu nous expliquer la raison de ce choix ?
« 
D.Kowalski : « C’est simple, en remerciement des très belles années que j’ai pu passer dans les rangs minimes et cadets lors du Challenge ECHODUVELO notamment que Dominique BERTOUT avait créé mais aussi remercier les personnes qui se battent pour leur passion, à travers les photos mais aussi pour la promotion du vélo »

D.Bertout : « Que penses-tu de VELODOM-PHOTO et de son reporter photographe Dominique BERTOUT ?
D.Kowalski : « Velodom-photo est un très beau site de reportages photos pour le vélo, mais aussi de différents sports attenant au cyclisme. Des photos pleines d’amour, pour une passion bien définie. »

D.Bertout : «  Peux-tu nous retracer ton parcours vélo de tes débuts jusqu’à aujourd’hui ? »
D.Kowalski : « Je n’ai pas eu a me plaindre sur mon parcours cycliste.. Des hauts et des bas comme tout cycliste, des regrets, mais aussi de bons choix pour l’avenir.

Apres avoir joué au football quelques années (8 saisons), j’ai eu un vélo entre les mains, j’ai de suite essayé et j’ai adhéré. Bon j’ai eu quelques problèmes lors de mes premières sorties (face à face avec une voiture stationné), mais aussi lors de mes premières courses, exactement ma 3ieme course, avec une chute et des points de sutures au menton, dépitant non ?  Mais c’est le sport, c’est le vélo…

Au début, ce n’était pas facile d’aller aux courses cyclistes, car mon papa, mécanicien cycle, était en déplacement chaque week-end, ma maman malade, je n’avais plus qu’un choix, les grands parents, sans eux, c’était mission impossible.

De très belles années sont passées de minime à cadet (Raismes Petite-Foret), en remportant ce fameux challenge echoduvelo.

En juniors (Team Wasquehal), les choses se simplifient, digne d’une équipe de DN. Les compétitions nationales et internationales arrivent. C’est là que l’on se rend compte du niveau, des entrainements à enchainer, malheureusement, j’étais un peu fainéant.

C’est aussi l’entrée avec l’équipe de France, route et cyclo-cross, un rêve !! Encore plus quand tu remportes deux épreuves de coupe du monde (Course de la paix, République Tchèque) .

En arrivant chez les élites (VC Rouen 76), je savais que ça allait être difficile, mais j’ai eu le soutien de mon directeur sportif et qui deviendra mon entraineur : Jean Philippe Yon.

J’ai beaucoup appris de lui, mais aussi de mes anciens coéquipiers (Jakin, Hoorne, Brenterch, Boutville, Huché…) lors de mes premières années, qui se sont compliqué par diverses blessures.

J’ai été ensuite stagiaire chez Cofidis en 2014, une très belle expérience. Ils m’ont souhaité d’attendre encore une année avant de passer chez eu. En même temps, Roubaix Lille Métropole m’a proposé un contrat.  Avec Jean Philippe Yon, on a décidé de refuser et de faire une grosse année chez les amateurs afin de prouver que l’on mérite d’aller chez les professionnels. Malheureusement, en cours de saison, on m’a décelé une mononucléose, chose qui m’a écarté toute chance de passer dans les rangs supérieurs.

Une année 2016 plutôt réussi, avec 6 victoires, 6é du Tour de Normandie, 2 sélections en équipe de France, un contrat de stagiaire et un contrat professionnel pour 2017, un petit regret c’est de ne pas avoir gagné une classe 2 ou coupe de France.

Mais sans les belles personnes que j’ai rencontrées, ça n’aurait pas été la même chose. (toute ma famille de A à Z, l’ecrpf, le team Wasquehal, le vc Rouen 76, ma chérie et sa famille, mes amis et surtout les supporters…)

D.Bertout : « Les Kowalski, une famille bien ancrée dans le vélo ? Peux-tu nous en parler ? »
D.Kowalski : « Chez les Kowalski, c’est une histoire de vélo mais sans notre père, on jouerait encore au football aujourd’hui. Le matériel coûte extrêmement chers, mais toute la famille a essayé et l’on a fait de très beaux entrainements ensemble, toujours la course. (rire)

Rudy est passé professionnel, Tony et Dany en font par passion, Eddy a opté pour la moto-cross, et le papa est mécanicien chez Roubaix. »

D.Bertout : «  Quel a été ton meilleur souvenir dans le vélo et à l’inverse ton plus mauvais ? »
D.Kowalski : « Mon plus beau souvenir ? C’est d’avoir remporté deux épreuves de coupe du monde en juniors, toutes mes sélections en équipe de France, que ce soit juniors et espoirs, ou même route et cyclo-cross, ça reste un grand moment d’enfiler ce maillot tricolore. Mais aussi, une victoire partagée avec mon frère rudy. L’une des seules courses disputées avec lui, sur le tour d’Auvergne. Echappé lors de la 2 é étape avec rudy et un autre coureur de Roanne, on a pu disputer la victoire ensemble, et je voulais laisser gagner mon frère. Chose faite mais les commissaire n’ont pas apprécié la chose, en nous pénalisant d’une amende chacun et des minutes de pénalités.. Peu importe nous avons fait premier et deuxième sans voler la victoire, et en faisant un sacré numéro!!!

Mon pire cauchemar ? Il y en a plein… Chaque course que tu prépares, que tu as travaillé dur, sans relâche, et que tu n’atteins pas le résultat souhaité. Mais faut savoir se remettre en question et repartir sur de bonnes bases à chaque épreuve. »

D.Bertout : «  La bonne nouvelle est tombée en fin de saison, tu vas rejoindre les rangs professionnels chez Roubaix en 2017 ? Tes impressions après cette annonce ?
D.Kowalski : « Oui, pour la saison 2017, je serai dans les rangs professionnel, au sein de l’équipe Roubaix Lille Métropole, c’est un grand soulagement après des années de travail. Mais je me dis que ce n’est qu’un début, un nouveau monde m’attend, et va falloir bosser encore plus dur… »

D.Bertout : «  Quels seront tes objectifs pour la saison 2017 ? »
D.Kowalski : « Les objectifs pour 2017 seront simples, je vais réaliser ce que l’on me demande de faire, bosser pour l’équipe un maximum, mais aussi va falloir aller chercher des résultats. »

D.Bertout : « En tant que parrain, tu nous feras le point régulièrement sur sa ta saison, est-ce bien le cas ? »
D.Kowalski : « Oui, tous les mois ou trimestre nous ferons un récapitulatif des courses afin de suivre la saison ensemble sur VELODOM-PHOTO. »

D.Bertout : «  En tant que parrain, tu as décidé de faire un cadeau aux adhérents VELODOM-PHOTO à l’occasion d’un jeu concours ? Peux-tu nous en dire plus ? »
D.Kowalski : « Oui, j’offrirai une tenue entière (maillot dédicacé, cuissard, gants et chaussettes) à l’issue d’un jeu concours. En espérant faire un heureux ou heureuse,  un adhérent velodom-photo amoureux et passionné par le cyclisme. »

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  Une tenue complète dédicacée à gagner

 

 

Un grand merci à Dylan qui me fait l’honneur d’être le parrain de VELODOM-PHOTO. Belle reconnaissance pour ce jeune champion dont on reparlera à coup sur en 2017.

Nous suivrons régulièrement ses péripéties et bientôt un jeu concours pour gagner une tenue complète de Roubaix pour les adhérents VELODOM.

Bonne route à Dylan.